Repentir
dimanche 30 novembre 1997Il fallait bien qu’un jour cela soit dit. Et ce fut bien exprimé, le 7 octobre 1997 par les adhérents du Syndicat national des policiers en tenue (SNPT), lesquels ont demandé pardon pour les crimes de leurs anciens, bourreaux des Juifs de France, de 1941 à 1944. Pourquoi a-t-il fallu qu’en écho le ministre de l’Intérieur explique aussitôt qu’il ne fallait pas que les policiers sombrent dans le masochisme ? Encore un petit coup de menton, et Jean-Pierre Chevènement pourra expliquer que les policiers qui officiaient pour le compte de la Gestapo n’avaient fait qu’obéir à la consigne !