Outrage
samedi 1 novembre 2003La nécessité de la répression policière est à ce point entrée dans les mœurs que le Français moyen s’y habitue. Ferme les yeux sur les violences. Le citoyen ordinaire trouve naturel cet environnement policier que l’on nous impose. La presse, au diapason de la France profonde, accorde de moins en moins de place aux dérives brutales ou aux dérapages sanglants de la force publique.